Cultiver « vert », c’est toute notre nature
Depuis plus de 5 ans, Scrive s’engage dans une démarche RSE innovante. Au cœur de cette ambition en faveur de l’environnement, il s’agit de pendre le végétal plus en considération, comme un être vivant à part entière.
Une démarche « Zéro Phyto »
La pépinière a fait le choix de ne plus recourir aux produits phytopharmaceutiques. Concrètement, les désherbants chimiques sont remplacés par un paillage naturel à base de pin finement broyé (appelé « fine »), produit dans les Landes près de Dax.
Les pesticides sont bannis, au profit d’une Protection Biologique Intégrée : pour contrer les insectes ravageurs tels que les pucerons, des prédateurs naturels (comme la coccinelle et le chrysope) sont utilisés au sein des cultures. Cette solution évite l’usage de produits toxiques, tout en étant bénéfique pour la santé de tous.
De même, l’engagement s’étend à la réduction progressive de l’usage d’engrais de synthèse, qui seront éliminés complètement d’ici deux ans. À la place, l’utilisation d’extraits de végétaux favorise une approche plus naturelle et respectueuse.
Gestion écologique de l’eau
Préservation de la biodiversité
Guidée par son profond respect de la nature, la pépinière Scrive assume sa responsabilité envers le maintien de la biodiversité. La variété des cultures qu’elle produit y participe pleinement.
Sa philosophie favorise un équilibre naturel dans les serres et pépinières, où cohabitent de nombreuses espèces d’insectes. Plutôt que d’opter pour une intervention systématique en cas d’apparition de parasites, tels que les pucerons, la pépinière Scrive privilégie une approche équilibrée et choisit avec discernement le moment opportun pour intervenir en traitant les plantes.
La pépinière s’étend sur 23 hectares de culture en plein champ. Cette méthode permet de cultiver des végétaux plus robustes, nourris par la riche terre de Chalosse.
Utilisation d’une énergie renouvelable
En partenariat avec la société Soltea, entreprise locale du Pays Basque, la pépinière Scrive a entrepris de recouvrir ses bâtiments de 1 200 m² avec des panneaux photovoltaïques.
Cette initiative contribue à réduire significativement les émissions de CO2, avec une diminution estimée à plusieurs centaines de tonnes par an.